Mutti m'a dit
Comme nous l'avions prévu dès le début de cette triste affaire, l'effet "pot de miel" du centre d'accueil pour migrants ouvert par Hidalgo se traduit par des arrivées massives dans le Nord de Paris.
Bobos qui voulez ne pas voir et détournez vos regards, allez donc fureter du côté de la porte de la Chapelle et vous comprendrez ce qui va bientôt vous tomber sur le râble. Dans la crasse s'entassent des centaines, bientôt des milliers d'immigrés clandestins venus pour des raisons économiques, incités par les associations bien-pensantes qui vont les chercher jusqu'aux côtes libyennes et nullement dissuadées par des "autorités" nationales et communautaires frappées d'inertie.
Bref une vraie pompe aspirante dont Hidalgo a accentué la puissance par ses annonces intempestives destinées à plaire à un électorat fantasmé.
Las ! La coupe est pleine et l'Etat ne peut suivre. Qu'à cela ne tienne, Hidalgo renvoie Macron à ses déclarations pro-immigrationnistes faites à l'Hôtel-de-Ville le jour de sa prise de fonctions.
Elle prodigue même ses conseils à défaut d'offrir des solutions qui pourtant découleraient de ses prises de position humanistes en peau de lapin : "Des camps de premier accueil dans les grandes métropoles ; des pôles régionaux d’enregistrement et de traitement des demandes d’asile avec hébergement directif réparti équitablement sur tout le territoire ; une gestion nationale des mineurs isolés et des jeunes majeurs… C’est un plan général d’accueil des migrants en France ... pour faire face à l’urgence ».
Hidalgo a beau jeu de rappeler goguenarde dans son courrier que : " le président de la République a salué l’engagement de la Ville de Paris, et la mise en place par la capitale d’une réponse humaine et digne à la crise des réfugiés."
Quel que soit celui ou celle qui héritera en définitive du mistigri, les Parisiens n'ont pas fini de voir les conséquences sanitaires et sociales catastrophiques d'un afflux qui n'en est qu'à ses débuts.
De ce point de vue, Macron ou Hidalgo sont à mettre dans le même sac.
Bobos qui voulez ne pas voir et détournez vos regards, allez donc fureter du côté de la porte de la Chapelle et vous comprendrez ce qui va bientôt vous tomber sur le râble. Dans la crasse s'entassent des centaines, bientôt des milliers d'immigrés clandestins venus pour des raisons économiques, incités par les associations bien-pensantes qui vont les chercher jusqu'aux côtes libyennes et nullement dissuadées par des "autorités" nationales et communautaires frappées d'inertie.
Bref une vraie pompe aspirante dont Hidalgo a accentué la puissance par ses annonces intempestives destinées à plaire à un électorat fantasmé.
Las ! La coupe est pleine et l'Etat ne peut suivre. Qu'à cela ne tienne, Hidalgo renvoie Macron à ses déclarations pro-immigrationnistes faites à l'Hôtel-de-Ville le jour de sa prise de fonctions.
Elle prodigue même ses conseils à défaut d'offrir des solutions qui pourtant découleraient de ses prises de position humanistes en peau de lapin : "Des camps de premier accueil dans les grandes métropoles ; des pôles régionaux d’enregistrement et de traitement des demandes d’asile avec hébergement directif réparti équitablement sur tout le territoire ; une gestion nationale des mineurs isolés et des jeunes majeurs… C’est un plan général d’accueil des migrants en France ... pour faire face à l’urgence ».
Hidalgo a beau jeu de rappeler goguenarde dans son courrier que : " le président de la République a salué l’engagement de la Ville de Paris, et la mise en place par la capitale d’une réponse humaine et digne à la crise des réfugiés."
Quel que soit celui ou celle qui héritera en définitive du mistigri, les Parisiens n'ont pas fini de voir les conséquences sanitaires et sociales catastrophiques d'un afflux qui n'en est qu'à ses débuts.
De ce point de vue, Macron ou Hidalgo sont à mettre dans le même sac.