Après la jungle de Calais, celle de Stalingrad !

Les "migrants", qu'Hidalgo prétend avec démagogie accueillir à Paris en leur donnant des hébergements ruineux pour la ville tout en essayant discrètement de les refiler à d'autres, n'entendent bien évidemment pas se laisser berner par ce double langage.

Paris va donc perdre sur les deux tableaux et des poches de clandestins, sitôt vidées, se reconstituent dans l'espoir d'obtenir des logements gratuits qui attireront d'autres. C'est ce qui s'est passé ce week-end dans le 18ème.

Voilà ce que donne le mélange de mensonge et de bien-pensance qui sert désormais de ligne de conduite aux socialistes français et parisiens sur le sujet.

Si les frontières finissent par se fermer en Allemagne et en Scandinavie, soyez sûrs que d'ici deux ans au plus ce genre de campements seront nombreux dans tous les arrondissements !

Un reportage du Delanopolis fait par un lecteur qui se reconnaîtra.