La barre est haut placée : "52 recommandations pour faire de Paris la capitale des droits LGBTIQ".
D'abord, comme par nostalgie du bon vieux temps du communautarisme aux frontières solidement établies, Romero pleurniche : "Il semble de plus en plus difficile de cerner les pratiques des personnes LGBTIQ, qui ne sont plus centrées sur le Marais – quartier qui se transforme avec ses boutiques de luxe qui remplacent les coffee shop gay – et de plus en plus demandeuses d’une offre moins spécialisée ou stéréotypée."
Qu'ils étaient faciles à comprendre et satisfaire les homos ghettoisés !
Pour réussir à valoriser cette diversité culturelle, festive et militante insuffisamment visible, le tourisme a été identifié par Romero comme un "outil efficace".
Rien ne résistera au vivre-ensemble à la sauce LGBTIQ. Les méchants barbus n'auront ni notre haine ni le reste et Romero ne craint pas d'avancer : "Dans le contexte post-attentats terroristes encore récent (sic), la valorisation du tourisme LGBTIQ à l’international peut être un moyen de redonner une image bienveillante et accueillante et sûre de la capitale française." Du seul fait de la présence des gays, les jihadistes reviendront-ils à de meilleurs sentiments ? Romero ne doit pas être au courant des défenestrations ayant cours chez les fous de la charia.
Mais rassurez-vous, les gros sous et autres considérations mercantiles ne sont pas très loin : "D’un point de vue « marketing » il est donc intéressant de cibler cette clientèle pour aider la destination à rebondir après une crise."
La Gay Pride, c'est la panacée, l'elixir de jouvence de l'abbé Soury qui résoudra tous les problèmes de Paris ! Hidalgo ferait peut-être bien de mettre les Macronistes dans un char lors du prochain défilé, ils reviendront à de meilleurs sentiments à son sujet !
D'abord, comme par nostalgie du bon vieux temps du communautarisme aux frontières solidement établies, Romero pleurniche : "Il semble de plus en plus difficile de cerner les pratiques des personnes LGBTIQ, qui ne sont plus centrées sur le Marais – quartier qui se transforme avec ses boutiques de luxe qui remplacent les coffee shop gay – et de plus en plus demandeuses d’une offre moins spécialisée ou stéréotypée."
Qu'ils étaient faciles à comprendre et satisfaire les homos ghettoisés !
Pour réussir à valoriser cette diversité culturelle, festive et militante insuffisamment visible, le tourisme a été identifié par Romero comme un "outil efficace".
Rien ne résistera au vivre-ensemble à la sauce LGBTIQ. Les méchants barbus n'auront ni notre haine ni le reste et Romero ne craint pas d'avancer : "Dans le contexte post-attentats terroristes encore récent (sic), la valorisation du tourisme LGBTIQ à l’international peut être un moyen de redonner une image bienveillante et accueillante et sûre de la capitale française." Du seul fait de la présence des gays, les jihadistes reviendront-ils à de meilleurs sentiments ? Romero ne doit pas être au courant des défenestrations ayant cours chez les fous de la charia.
Mais rassurez-vous, les gros sous et autres considérations mercantiles ne sont pas très loin : "D’un point de vue « marketing » il est donc intéressant de cibler cette clientèle pour aider la destination à rebondir après une crise."
La Gay Pride, c'est la panacée, l'elixir de jouvence de l'abbé Soury qui résoudra tous les problèmes de Paris ! Hidalgo ferait peut-être bien de mettre les Macronistes dans un char lors du prochain défilé, ils reviendront à de meilleurs sentiments à son sujet !