La liste des exactions et meurtres reprochés à ce fumeur de Havane est longue comme un nuit sans rhum.
Comme l'a excellemment tweeté Luc Ferry : "Hallucinant ! @Anne_Hidalgo célèbre le romantisme du Che, une crapule sanguinaire qui a personnellement torturé et assassiné de sa main 130 malheureux dans l’abominable camp de concentration et de torture qu’il dirigeait. A quand un hommage à Pol Pot, Béria et Mao ?"
Bref, c'est une nouvelle preuve de l'amateurisme d'Hidalgo qui cherche sans arrêt à faire des coups de com' et se prend les lèvres dans le micro. Mais donc qui la conseille ?!
Bah ! Elle ne fait en réalité que continuer sur la lancée de Delanoë qui, on l'a aujourd'hui oublié, accorda en 2004 la "protection" de la ville de Paris à un terroriste notoire, Cesare Battisti.
N'oublions pas non plus qu'au moment où Hidalgo s'attendrit sur ce pseudo romantique aux mains tâchées de sang, on débaptise partout des rues au seul prétexte qu'elles portent le nom de gens soupçonnés d'avoir trempé de près ou de loin dans le trafic des esclaves. A Paris, en décembre 2001, Bertrand Delanoë avait débaptisé en présence de Christiane Taubira, la rue Richepance devenue rue du Chevalier-de-Saint-Georges. Deux poids, démesure ...
Comme l'a excellemment tweeté Luc Ferry : "Hallucinant ! @Anne_Hidalgo célèbre le romantisme du Che, une crapule sanguinaire qui a personnellement torturé et assassiné de sa main 130 malheureux dans l’abominable camp de concentration et de torture qu’il dirigeait. A quand un hommage à Pol Pot, Béria et Mao ?"
Bref, c'est une nouvelle preuve de l'amateurisme d'Hidalgo qui cherche sans arrêt à faire des coups de com' et se prend les lèvres dans le micro. Mais donc qui la conseille ?!
Bah ! Elle ne fait en réalité que continuer sur la lancée de Delanoë qui, on l'a aujourd'hui oublié, accorda en 2004 la "protection" de la ville de Paris à un terroriste notoire, Cesare Battisti.
N'oublions pas non plus qu'au moment où Hidalgo s'attendrit sur ce pseudo romantique aux mains tâchées de sang, on débaptise partout des rues au seul prétexte qu'elles portent le nom de gens soupçonnés d'avoir trempé de près ou de loin dans le trafic des esclaves. A Paris, en décembre 2001, Bertrand Delanoë avait débaptisé en présence de Christiane Taubira, la rue Richepance devenue rue du Chevalier-de-Saint-Georges. Deux poids, démesure ...