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Vandalib'




Claironnant la hausse du nombre d'abonnés à Vélib', Decaux et son antenne parisienne, la mairie delanoiste, sont moins diserts sur le vandalisme, ses coûts réels et leur prise en charge dispendieuse par la ville ...



Vandalib'
Cela n'a rien de surprenant, le vandalisme de Vélib' est reparti à la hausse, surtout dans les stations isolées du le nord-est de Paris et des communes limitrophes. Entre la fin juin et la mi-juillet, il a entraîné la fermeture d’une cinquantaine de stations.

Le Parisien nous apprend que le directeur de la stratégie, des études et du marketing (c'est tout ?) de Vélib’, chez Decaux se refuse à dévoiler le montant du préjudice mais évoque « des dizaines de bornettes saccagées, des centaines de vélos volés ainsi que des pertes d’exploitation liées à la fermeture de plusieurs stations ». « Vélib’ est une entreprise très coûteuse. Mais le contrat est à l’équilibre », concède-t-il simplement.

Coûteux mais à l'équilibre ? Il faudrait pour cela que les recettes soient considérables, ce que ne permet pas le tarif ultra-attractif de la location de cet engin pour la plupart de ses usagers. Il est malheureusement probable que la solution à cette énigme financière se trouve dans les clauses des avenants consentis par la ville à Decaux et qui ont d'ailleurs donné lieu, pour le deuxième d'entre eux, à une annulation en juillet 2011 par le Tribunal administratif de Paris, à la suite d'un recours introduit par un de nos plus fidèles lecteurs, Serge Federbusch, élu soucieux de défendre les finances parisiennes.

Par cette rasade illégale (la ville a fait voter en catastrophe un nouvel avenant pour reprendre les dispositions annulées), la mairie prend à sa charge jusqu'à 25% du coût supposé du vandalisme et ce non seulement pour les vélos installés hors de Paris mais également pour ceux disposés sur son territoire, ce qui fait une différence importante. Il est difficile d'avoir des chiffres fiables sur ces versements mais supposons qu'au strict minimum les Vélib's volés ou endommagés soient au nombre de 5 000 par an ( Decaux avouait il y a deux ans que toute la flotte avait déjà été victime de vandalisme) et que le montant moyen des remplacements et réparations soit de 300 euros, vous arrivez à près de 400 000 euros à acquitter pour le contribuable parisien à ce seul titre.

Par ailleurs les régimes d'intéressement et de pénalités ont été revus substantiellement au bénéfice de Decaux. Dans le dernier rapport budgétaire de la ville, figure une phrase laconique : « Vélib : +2,4M€, essentiellement pour le paiement de l’intéressement ».. Impossible d'en savoir plus mais la satisfaction de Decaux n'est pas de bon augure pour votre porte-monnaie. L'usager de Vélib', qui est considérablement plus subventionné que celui du métro ou du bus, question d'image, a bien de la chance. Dans le concert de louanges joué par les médias pour les 5 ans de Vélib', pas une fausse note pour évoquer ce genre de détails mesquins.



Jeudi 9 Août 2012
Serge Federbusch






1.Posté par Incognitototo le 10/08/2012 12:20
Hé non, 5 000 vélos vandalisés à 300 €, cela fait 1,5 M€ et non pas environ 400 K€ en terme de coût... N'oubliez jamais que la part de Decaux est également payée par les Parisiens sous la forme de concessions "gratuites" publicitaires ; ça n'est pas parce qu'il n'y a pas échange d'argent que cela ne représente pas un coût : http://solutions-politiques.over-blog.com/article-f-velib-problemes-d-arithmetique-elementaires-niveau-cm1-54464953-comments.html

2.Posté par Serge Federbusch le 10/08/2012 13:38
Cher Incognitoto, d'après le contrat la ville ne prend en charge que 25% du coût du vandalisme, d'où mon estimation mais il faut avouer que la règle n'est pas très claire. Sur les recettes publicitaires tout à fait d'accord avec vous.

3.Posté par Incognitototo le 10/08/2012 13:58
Cher Serge,

C'est bien là, où depuis le début de cette affaire il y a arnaque "conceptuelle"... rien n'est "gratuit" dans cette affaire et au final ce sont toujours les Parisiens qui payent tout.

Il s'agit d'un troc et sa "valorisation comptable" implique une tout autre vision de notre problème... Un peu de pédagogie comptable...

Si pour obtenir une part de "Vache qui rit", je dois donner une boite tout entière de "Vache qui pleure" (qui contient 8 parts au total, dont une de "Vache qui rit"), combien m'a coûté ma part de "Vache qui rit" ?

Plusieurs raisonnements sont possibles en fonction du point de vu de celui qui réfléchit :
- du point de vu du Vélibiste (qui ne veut pas savoir), ça a coûté une part de Vache qui rit,
- du point de vu de celui qui fournit la part de Vache qui rit, JC Decaux, ça a coûté une part de "Vache qui rit" + ce que ça lui coûte réellement dans l'échange, disons, pour simplifier, 3 parts de "Vache qui pleure", soit au total 4 parts,
- mais, du point de vu de celui qui a donné la boîte de "Vache qui pleure", la Ville de Paris, vous pouvez reprendre le raisonnement comme vous voulez, ça lui coute bien une boîte de 7 parts de "Vache qui pleure" et 1 part de "Vache qui rit" !!! Même si par l'artifice du troc, il escamote la réalité des 7 parts de "Vache qui pleure", puisqu'il n'a pas à les payer en monnaie sonnante et trébuchante...

Pour la Ville de Paris, si on traduisait ce troc d'un point de vu comptable (je dis bien comptable et pas analytique), pour connaître le coût de revient vous seriez bien obligé de faire figurer ce que vous avez dû donner en échange du service que vous recevez ; c'est ainsi que procèdent notamment les douanes pour valoriser les trocs de marchandises et percevoir les taxes sur le coût réel d'échange et non pas sur le seul différentiel.
C'est, par ailleurs, le b.a-ba de la comptabilité des associations qui valorisent le travail bénévole pour connaître leur coût d'exploitation réel ou encore des entreprises qui sont tenues de valoriser leurs différentiels d'échange, car sinon elles priveraient l'administration fiscale des cascades d'imposition...

Donc, je persiste et je signe, la Ville de Paris masque par un artifice comptable, le troc qui n'est jamais valorisé pour que le coût réel n'apparaisse jamais !!! Donc, il est tout à fait faux de continuer à dire que le vandalisme coûterait 400 K€, car ce raisonnement escamote ce que la Ville de Paris a donné par ailleurs pour que JC Decaux "assume" le reste...

4.Posté par gaspardgrognard le 11/08/2012 01:44
Le concept du Vélib c'est une absurdité en trois points :
- location d'une bicyclette pour quelques rares utilisateurs (en valeur relative aux déplacements de personnes dans la région parisienne, c'est rien…) subventionné comme un service public.
- le coût de cette opération est semble-t-il considérable et indécent.
- c'est un leurre sur le but, car jamais la pollution dans Paris ne baissera d'un gramme avec l'usage de cet engin.
En conclusion, une opération imbécile, incontrôlée, gênante par les implantations des stations, et les utilisateurs sont généralement des individus dangereux par leur comportement incroyablement incivique.
L'aspect le plus inacceptable, c'est que ce sont les personnes qui n'utiliseront probablement jamais ces foutus Vélibs qui en payent le coût : les Parisiens qui payent des impôts !

5.Posté par bouquiniste de paris le 11/08/2012 08:43
et ca ce n est rien j attend avec impatience les factures de bolloré a la ville pour compenser les perte d autolib
la ca risque de faire tres mal surtout au rythme ou ils construisent les stations et au rythme ou ils ferment les rues et voies pour empecher la circulation .
pauvres parisiens qui allaient payer la note qui risque d etre salée, et pauvre de moi qui vait respire les emations des bouchons permanant

6.Posté par néfertiti le 11/08/2012 10:12
Chiffres publiés par Le Parisien le 7 août dernier :

Depuis le lancement de Vélib’ dans la capitale en 2007 et son extension dans les villes limitrophes en 2009, le fameux vélo gris est la cible de vandales. La flotte composée de 23500 vélos a même déjà dû être remplacée intégralement en raison des vols et du vandalisme. A 650 € par Vélib’, la facture — 15 M€ environ — est lourde. Et c’est sans compter les paniers volés, les bornettes arrachées et les améliorations techniques comme celles apportées il y a quelques jours pour renforcer et sécuriser les points d’attache.

http://www.leparisien.fr/paris-75/velib-victime-d-un-pic-de-vandalisme-07-08-2012-2116290.php

De toute façon, il est difficile de mettre en place ce genre de service, le problème se pose un peu partout, en Finlande par exemple, :

"L’idée de mise à disposition de bicyclettes gratuitement n’est pas nouvelle à Helsinki : la Ville l’avait déjà organisé il y a quelques années, mais le service fut suspendu, les vélos étant victimes de vandalisme et de vols".

Pareil pour "Autolib" :

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/01/02/01016-20120102ARTFIG00265-autolib-deja-victime-de-pannes-et-de-vandalisme.php

Moralité : développer et moderniser les transports en commun, assurer un service régulier (comme à Prague par exemple : si vous prenez le métro (jusque tard dans la nuit) vous n'attendez pas, une rame arrive toutes les 30 secondes maximum ....) même chose pour les trams !



7.Posté par gaspardgrognard le 11/08/2012 15:37
Les transports en commun ? Bien sûr que dans les grandes métropoles c'est la véritable solution aux encombrements, à la pollution générée par tous les moteurs thermiques (diesel et moteurs deux temps en tête), aux dangers divers de la circulation des véhicules de toutes sortes.
Mais, on dirait que pour la Mairie de Paris, ce ne soit qu'un article de langage, car en ce qui concerne les aménagements de ces transports, c'est le statu-quo depuis plusieurs décennies.
Les bus sont rares, sales, inconfortables. Leurs itinéraires sont parfois curieux. D'une part, parce que plusieurs lignes effectuent le même trajet, et d'autre part, à cause des nombreux (trop nombreux) sens uniques l'aller et le retour ne se font pas par les mêmes voies. Le résultat, c'est que ces bus sont assez peu fréquentés. Sur certaines lignes, les voitures sont souvent vides, mais elles ont un temps de passage tellement long que c'est décourageant d'emprunter ce moyen de transport.
Le métro parisien. J'ai déjà tellement dit et rappelé son archaïsme en matière d'utilisation. La signalétique est plus proche des énigmes et des rébus que de l'information. L'accès aux quais n'est vraiment possible que si l'on est en bonne santé et en bonne forme physique. Des volées de marches souvent incroyables, à croire que nous sommes dans un manège de fête foraine !
Le désintérêt de la ville de Paris pour les transports en commun, est évidente, car quand on veut consulter les derniers plans de quartier sur le mobilier Decaux, tout y figure, sauf les lignes et les arrêts de bus.
Enfin, les couloirs réservés à ces bus sont soit vides (il y a peu de voitures) ou encombrés par des véhicules de livraison ou de service, voire par des automobilistes inciviques au point d'y stationner. Les bus font du gymkhana en permanence et subissent finalement les aléas de la circulation dans les encombrements. Coup de chapeau aux conducteurs qui s'en tirent souvent très bien. En revanche, les passagers sont plutôt secoués.
À la rentrée, on va probablement assister à la démesure pour les encombrements. Les aménagements obsessionnels des responsables parisiens, comme ceux de la place de la République, des berges de la Seine et les rétrécissements de chaussées, ça promet !

8.Posté par Arthur Boissier le 13/08/2012 01:23


Sans nous, le vélib... C'est moins marrant !
Et pour cause !

9.Posté par bouquiniste de paris le 13/08/2012 10:29
tu as oublie la mise a double sens des grands boulevard qui est en train d etre mis en place ce qui va pas mal mettre de pagaille en plus

10.Posté par gaspardgrognard le 13/08/2012 14:48
La suppression d'un sens unique sur un grand axe est une très bonne chose. Dans l'axe Opéra/République, les deux axes sont d'une part, la rue du 4 septembre suivie de la rue Réaumur et la rue de Turbigo et d'autre part des Grands Boulevards. Jusqu'à présent, se déplacer selon cet axe était généralement sujet à des encombrements continuels, car ces deux axes passent dans une zone à forte activité économique du tertiaire et du négoce. La mise en double sens des Grands Boulevards est donc souhaitable, mais à la condition que l'autre axe le soit aussi. La fluidité du trafic (ce qui est une moindre source de pollution) demande justement des circulations alternées sur les les grandes avenues et boulevards.
De plus, si on tient compte des dysfonctionnement continuels des zone prioritaire comme les couloirs dédiés, on peut facilement d'en passer. Cela augmenterait la capacité de circulation, donc la fluidité.
Les bus circuleraient comme tous les autres véhicules, bénéficiant de cette fluidité meilleure.
Quant à la sécurité des deux roues pédalantes, il suffit que leurs utilisateurs apprennent à respecter le Code de la Route. Simple: on roule à droite, on se prépare quand on veut tourner à gauche et on le signale clairement. On s'arrête aux feux rouges, et on n'emprunte pas les sens interdits.
C'est tellement simple que ce ne peut pas être une " action politique ", encore moins technocratique !
Dans mon raisonnement, il y a une faille, inacceptable pour la municipalité parisienne : je suppose qu'on ne chasse pas l'automobile, mais qu'on essaye d'en aménager l'utilisation.
Moins d'auto, c'est facile : proposez des moyens de remplacement, autre que la bicyclette.
Plus de bus, voire des minibus fréquents, des taxis en plus grands nombre (voitures électriques), des taxis collectifs, et un métro aménagé pour recevoir tout le monde.
Ce sont des choix, pas des miracles.

11.Posté par Arthur Boissier le 18/08/2012 00:16


Bravo Monsieur Grognard !
Il faut grogner haut et fort !
Contrairement, au sieur Dl'anplis, vous avez le courage
de vos opinions.
Nous aimons !
NOUS VOUS SUIVRONS !

12.Posté par Gaspardgrognard le 30/08/2012 15:54
Je reviens d'un séjour de repos vacancier, en France, tant il est sûr que la Corse est encore une région française. Beaucoup de Corses n'en doutent pas mais quelques uns le conteste, Bah, des régionalistes, il y en a partout. Tant qu'ils restent minoritaires, c'est bien, surtout quand ils n'accompagnent pas leurs revendications par des attentats meurtriers.
Tout ça pour dire que je reviens d'un coin tranquille, où se déplacer à pied, en flânant, et à faire du lèche vitrine ne présente aucun danger.
Dès mes premiers pas dans la capitale, chez moi, sur mon trottoir, je manque de renverser un cycliste et deux motocyclistes qui se déplaçaient sur « leurs » trottoirs.
Je me suis excusé de les déranger par mon outrecuidance d'emprunter leur territoire.
Donc à tous les utilisateurs de deux roues, à moteur ou pas, aux planchistes, rollermens et aux patineurs, je vous prie, d'avance de bien vouloir user d'indulgence à mon égard quand je vous gène !

13.Posté par ARON Jean-Claude le 01/09/2012 06:50
Gaspard, il ne faut pas oublier que les voies cyclables installées sur les trottoirs donnent aux PIETONS la priorité, surtout pour les traverser pour aller emprunter un passage pour piétons.

Bouquiniste. La mise à double sens des grands boulevards est une bonne chose, c'est quelque chose que j'ai demandé depuis des années. Ca donne une voie directe de l'opéra à la Place de la République sans devoir emprunter les rues à l'intérieur des quartiers.

Si on les avaient aménagés avant, il n'aurait pas fallu tronçonner la rue de provence-richer-petites écuries-chateau d'eau pour éviter que les voitures les empruntent pour aller de l'opéra à la Place de la République.




14.Posté par ARON Jean-Claude le 01/09/2012 06:51
Gaspard, il ne faut pas oublier que les voies cyclables installées sur les trottoirs donnent aux PIETONS la priorité, surtout pour les traverser pour aller emprunter un passage pour piétons.

Bouquiniste. La mise à double sens des grands boulevards est une bonne chose, c'est quelque chose que j'ai demandé depuis des années. Ca donne une voie directe de l'opéra à la Place de la République sans devoir emprunter les rues à l'intérieur des quartiers.

Si on les avaient aménagés avant, il n'aurait pas fallu tronçonner la rue de provence-richer-petites écuries-chateau d'eau pour éviter que les voitures les empruntent pour aller de l'opéra à la Place de la République.

15.Posté par Gaspardgrognard le 02/09/2012 00:28
Il existe des époques de croyances diverses. Ces phénomènes de l'esprit ont émaillés l'histoire du genre humain depuis la nuit des temps. Aujourd'hui, des drôles d'oiseaux, férus de connaissances diverses en sont arrivés à imaginer que la voiture automobile est le mal absolu. Que l'usage de la bicyclette allait sauver l'humanité. Alors, quand ces « bestioles » à l'esprit un peu fêlé sont au pouvoir ils décident. Que les enfourchants de cette foutue machine, (inventée pour tout autre chose, il y a environ trois siècles) devaient être autorisés à pénétrer partout. On la trouve dans tout les lieux où les piétons, comme dans les jardins, les squares, les endroits qualifiés de « piétonniers », dans les galeries couvertes, dans les marchés de rue, sur les trottoirs, voire dans des magasins, là où des parents laissent s'ébattrent leurs bambins qui, insouciants, aiment jouer, aller et venir en toute liberté. Ces « oiseaux » prennent le risque de voir un pédaleux renverser un de ces joyeux bambins et personne ne semble imaginer le résultat possible.
Ces irresponsables, rêvent et agissent dans le sens de leurs rêves.
Qui, quand, comment, les réveiller ?
Comment leur rappeler que l'automobile est une conquête de l'intelligence humaine, que la bicyclette est un engin roulant qui n'est pas comparable avec un piéton ?
Comment leur rappeler, qu'il existe un Code la Route, avec des lois qui considère la bicyclette comme un engin de déplacement soumis aux mêmes règles que les autres engins ?
Je crois qu'il faut attendre que cette époque de croyance « d'écologie de bazar » s'éteigne et que ce soit les autres individus plus raisonnables, aux pensées plus simples et plus pragmatiques qui les remplacent.
Quand ?

16.Posté par ARON Jean-Claude le 03/09/2012 06:27
Sincèrement j'espère en 2014, Gaspard

Même les dynosaures se sont éteints

17.Posté par parisien le 23/10/2012 18:02
je vais défendre ma chapelle, en l'occurrence les livreurs , si nous stationnons dans les voies c'est que la plupart du temps nous ne pouvons faire autrement puisque le peux de place de livraisons sur les grands axes sont incapable accueillir les gros camions correctement, c'est dire pouvoir ouvrir le hayon sans gêné la circulation des bus et taxis , ne parlons pas des place squatter par les véhicules particuliers ; merci de nous laissez les places de livraisons libres enfin que nous ne bouchions plus les rues.

la mise a double sens des grands boulevard est une bêtise sur une partie du trajet étant donner que la remonter opéra-république ne ce fait que sur une file , ce qui va obligé les voitures a passer de l'autre coté du sens de la circulation dés qu'ils arriveront derrière un camion faisant sa livraison , courage ou suicide pour le faire tellement la circulation république opéra est dense la journée.

en ce qui concerne les pistes cyclables sur les trottoirs , il ni y a qu'a voir ce qui ce passe sur le magenta ou il n’existe aucunes signalisation sur ces pistes, la traverser de la chausser piste comprise relevé le l'exploit lorsque le feu donne le droit au piétons de traverser; si un utilisateur de cycle arrive au même moment , c'est une volé d'injure envers le piéton quand ce n'est pas un scooter en utilisation abusive de cette piste.

le vandalisme de ces vélib ne s’arrêtera que lorsqu'il auront disparue de la circulation .
ne parlons pas de ces milliers de scootériste sans fois ni lois qui jouent a la roulette parisienne en zigzagant entre les véhicules, utilisation de trottoir et qui le soir encombrent les dits trottoirs de leur monture qui dorment gratuitement sur les aires de stationnement dont l'aménagement a été payer avec l'impôt des parisiens , non scootériste compris .

on fait payer les véhicules quatre roues une fortunes et gare a celui qui n'a pas donner sa dime alors que les deux roues ne payent rien , absolument rien qui plus est sur d'anciens emplacement de véhicules quatre roues , magnifique manque a gagné pour la mairie, il serait juste que ces dernier payent aussi leur obole a la communauté.

je précise que je ne possède aucuns véhicule a moteur , me déplace a pied ou en transport en commun, bus -metro et ne loue un véhicule que pour les longs WE et les vacances et ne roule en camion dans paris et sa région que lorsque je travail.

18.Posté par Jean-Claude ARON le 24/10/2012 09:45
D'un parisien à un autre.

Mettre les Grands Boulevards à double sens est une chose que je réclame depuis longtemps.

Ce qui est insensé c'est de faire une seule voie dans le sens Richelieu Drouot / République. Il fallait faire au moins deux voies.

Mais, cher Parisien, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais dans tout Paris, la politique de rénovation urbaine est inspirée de Raymond Devos (les sens interdits) : une seule voie de circulation, le moins possible de place de stationnement, c'est roule ou crève.

Ce qui crée des bouchons (66 % de réduction des voies Boulevard de Magenta pour le résultat de 25 % de moins de voitures)

Ce qui crée de la pollution (doublement de la pollution à l'intersection Magenta/Lafayette, chiffres en mains, je tiens les document à la disposition de ceux qui m'en feront la demande)

Ce qui crée les incivilités dont vous ne donnez qu'un exemple, mais il y a des voitures, des scooters, des vélos qui brûlent multiquotidiennement les feux rouges, les deux roues à moteur qui prennent les trottoirs pour un circuit de course, les vélos pour lesquels il n'existe plus de code de la route (feux rouges brûlés, sens uniques remontés à contresens sans aucun marquage, bousculade des piétons qui traversent les pistes cyclables sur le trottoir pour rejoindre le passage pour piétons)

Et j'en passe. Tous ces désagréments n'existaient pas avant l'intervention des verts dans le Plan Local d'Urbanisme. Les gens étaient civilisés.

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