Connectez-vous
DELANOPOLIS
Revenir à l'accueil | Envoyer à un ami | Version imprimable | Augmenter la taille du texte | Diminuer la taille du texte | Partager

Millenium 2



Le deuxième tome de la trilogie suédo-gore de Stieg Larrson est mis en images et en sons avec plus de légèreté que le premier, ce qui n'est pas un mauvais choix.



Millenium 2
La fille rêve de bidons d'essence et d'allumettes et elle crame au passage tous les tabous, non-dits et arrière-pensées d'une société suédoise moins consensuelle qu'on l'a longtemps cru.

Comme le roman éponyme est dense et touffu et que le film entend coller au plus près du récit, le réalisateur doit faire des choix. Il allège des passages qui étaient un peu longuets dans le livre. Ce n'est pas plus mal. Le climat paranoïaque sur l'héritage collaborationniste et la société policière qui séviraient en suède sont moins pesamment décrits que dans le premier opus. Et les acteurs plus sobres dans leurs compositions. Bref, ce n'est pas un chef d'oeuvre mais on passe un moment distrayant dans ce pathos nordique. Et, décidément, le nom que l'actrice s'est choisie : Noomi Rapace est excellent.

Lundi 26 Juillet 2010
Serge Federbusch






1.Posté par Maurice le 27/07/2010 12:06
J'ai bien aimé cette trilogie, les tomes 2 et 3 peuvent ce lire sans avoir à lire le 1er.
Cela fait froid dans le dos de penser que de telles magouilles peuvent se faire dans TOUS les pays. (pour ce qui est de la cellule de renseignement suédois)

2.Posté par andrei le 27/08/2010 13:22
Ce qui m'horripile le plus, dans cette trilogie, c'est la traduction en "petit-français", absolument minable.

Un exemple : "Je lui avais dit pourtant de ne pas faire des ronds dans l'eau", à la place de "...ne pas faire des vagues". Des perles comme celle-là, il y en a chaque page.

Nouveau commentaire :

Editos | Les Dernières Nouvelles de Delanopolis | Brèves de trottoir | Ségo Bashing | PariBao - le Dazibao de Paris | Delanopolis hors les murs | Delanopolis Street Art | Gastropolis | Le Delanopolis littéraire | Jouez au Delanopolis | Chroniques Jupitériennes