Une activité moins nocive pour la retraitée Hidalgo ?
Les syndicats de la Direction des affaires culturelles de la Ville de Paris dénoncent depuis plusieurs mois, voire des années, la dégradation des conditions de travail de leurs collègues professeurs ou administratifs dans les Ateliers Beaux Arts municipaux de la capitale. La CGT a même récemment rejoint Force Ouvrière pour une gréve le samedi 13 juin 2015 suite aux détériorations des relations hiérarchiques entre l'administration et les personnels des enseignements artistiques.
Décidément Hidalgo fait l'unanimité : contre elle !
Rappelons simplement cette pépite trouvée dans un rapport d'audit de l'Inspection de la ville de Paris qui résume parfaitement la situation : "Le retour en régie municipale a provoqué une forte remise en cause du fonctionnement courant des ABA, la gestion associative était souple et relevait d’un projet global qui n’a pas été explicitement remplacé. La capacité du BEAPA à prendre en main leur organisation concomitamment à la mise en œuvre de la réforme des conservatoires a été surestimée au départ et plusieurs années d’indécision ont alors pesé sur l’évolution des ateliers. Sur les sites principaux les coordonnateurs qui cumulent tâches administratives, logistiques et d’enseignement ont été mis en difficulté ; leur rôle reste mal défini, d’autant que leurs interlocuteurs dans les services administratifs sont nombreux et que le BEAPA peine à jouer le rôle de référent unique."
Bref, l'ancien système, souple et décentralisé, fonctionnait mieux que le nouveau, bureaucratique et socialisé. Même les syndicats s'en rendent compte aujourd'hui !
Décidément Hidalgo fait l'unanimité : contre elle !
Rappelons simplement cette pépite trouvée dans un rapport d'audit de l'Inspection de la ville de Paris qui résume parfaitement la situation : "Le retour en régie municipale a provoqué une forte remise en cause du fonctionnement courant des ABA, la gestion associative était souple et relevait d’un projet global qui n’a pas été explicitement remplacé. La capacité du BEAPA à prendre en main leur organisation concomitamment à la mise en œuvre de la réforme des conservatoires a été surestimée au départ et plusieurs années d’indécision ont alors pesé sur l’évolution des ateliers. Sur les sites principaux les coordonnateurs qui cumulent tâches administratives, logistiques et d’enseignement ont été mis en difficulté ; leur rôle reste mal défini, d’autant que leurs interlocuteurs dans les services administratifs sont nombreux et que le BEAPA peine à jouer le rôle de référent unique."
Bref, l'ancien système, souple et décentralisé, fonctionnait mieux que le nouveau, bureaucratique et socialisé. Même les syndicats s'en rendent compte aujourd'hui !