J'ai vu la note sur ma copie ...
" Le maire de Paris est-il au dessus des lois ?
D’après le décret n° 2013-77 du 24 janvier 2013 relatif à l’organisation du temps scolaire dans les écoles maternelles et élémentaires, les heures d’enseignement ne peuvent dépasser cinq heures trente maximum par jour.
Pourtant, la ville de Paris prévoit que les activités périscolaires seront organisées les mardi et vendredi de 15 heures à 16 h 30, la demi-journée supplémentaire de classe ayant lieu le mercredi matin.
Une exception parisienne ? Mais à quel titre ?!
Les élèves parisiens conserveront donc, malgré l’application de la réforme des rythmes scolaires dès 2013, deux journées de classe avec 6 heures d’enseignement le lundi et le jeudi !
Cette possibilité d’une plus grande souplesse dans l’organisation des rythmes sur la semaine sera-elle offerte à l’ensemble des communes du territoire Français ou s’agit-il d’une exception parisienne ?
Car pour le moment, la proposition d’organisation de la semaine de classe sur Paris est hors-la-loi… Et pourtant personne au ministère de l’Éducation nationale ne semble s’en émouvoir !
Clientélisme politique ?
Où est donc passé le bien-être des enfants les lundis et jeudis ? Où est donc passée la régularité des rythmes, garante de la réussite scolaire pour les défenseurs de la réforme, avec cette semaine de classe où les jours se suivent mais ne se ressemblent pas.
Dès 2013, il semble que les élèves parisiens auront le lundi 6 heures d’enseignement, le mardi 4 heures 30, le mercredi 3 heures, le jeudi 6 heures et le vendredi 4 heures trente.
Cette formule étonnante des rythmes scolaires sur la semaine proposée dans la capitale ne respecte plus les préconisations du ministère et des chronobiologistes.
Mais de quel pays Européen aux résultats scolaires formidables s’est on inspiré pour envisager cette organisation du temps ? À moins, qu’il ne s’agisse plus au final que de défendre l’intérêt politique de quelques adultes au détriment du bien être des enfants ?
Je n’ose le croire…"
Lire aussi ICI.
D’après le décret n° 2013-77 du 24 janvier 2013 relatif à l’organisation du temps scolaire dans les écoles maternelles et élémentaires, les heures d’enseignement ne peuvent dépasser cinq heures trente maximum par jour.
Pourtant, la ville de Paris prévoit que les activités périscolaires seront organisées les mardi et vendredi de 15 heures à 16 h 30, la demi-journée supplémentaire de classe ayant lieu le mercredi matin.
Une exception parisienne ? Mais à quel titre ?!
Les élèves parisiens conserveront donc, malgré l’application de la réforme des rythmes scolaires dès 2013, deux journées de classe avec 6 heures d’enseignement le lundi et le jeudi !
Cette possibilité d’une plus grande souplesse dans l’organisation des rythmes sur la semaine sera-elle offerte à l’ensemble des communes du territoire Français ou s’agit-il d’une exception parisienne ?
Car pour le moment, la proposition d’organisation de la semaine de classe sur Paris est hors-la-loi… Et pourtant personne au ministère de l’Éducation nationale ne semble s’en émouvoir !
Clientélisme politique ?
Où est donc passé le bien-être des enfants les lundis et jeudis ? Où est donc passée la régularité des rythmes, garante de la réussite scolaire pour les défenseurs de la réforme, avec cette semaine de classe où les jours se suivent mais ne se ressemblent pas.
Dès 2013, il semble que les élèves parisiens auront le lundi 6 heures d’enseignement, le mardi 4 heures 30, le mercredi 3 heures, le jeudi 6 heures et le vendredi 4 heures trente.
Cette formule étonnante des rythmes scolaires sur la semaine proposée dans la capitale ne respecte plus les préconisations du ministère et des chronobiologistes.
Mais de quel pays Européen aux résultats scolaires formidables s’est on inspiré pour envisager cette organisation du temps ? À moins, qu’il ne s’agisse plus au final que de défendre l’intérêt politique de quelques adultes au détriment du bien être des enfants ?
Je n’ose le croire…"
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