En 2011, au prétexte de simplification et d’équité, la Mairie de Paris a fusionné les 8 anciennes catégories de la taxe de balayage pour ne retenir qu’une seule au tarif le plus élevé (9.22€ /m²/an).
Cette décision, applicable en 2012, conduit à une augmentation moyenne de la taxe de 270% par rapport à 2011. Pour certains immeubles, l’augmentation a dépassé 600%. Noyée dans les charges de copropriété, cette augmentation est rendue invisible. En effet, cette dernière est notifiée aux syndics qui la paient et la répartissent ensuite entre les copropriétaires en fonction des millièmes. Si vous êtes locataires, sachez que la taxe est répercutée dans vos charges locatives. Interrogez votre syndic ou votre propriétaire.
S’il est vrai qu’au cours de la dernière campagne électorale, le Maire de Paris avait prévenu qu’il relèverait le niveau des impôts payés par les parisiens, il s’était bien gardé de préciser qu’il procèderait à de telles augmentations. Aujourd’hui, la hausse brutale de la taxe de balayage, opérée en catimini, suit celle d’environ 20% de la taxe foncière et de la taxe d’habitation sur les exercices 2010 et 2011.
Si, jusqu’à présent, les parisiens payaient plutôt moins d’impôts locaux que la moyenne des contribuables des grandes villes françaises, c’est parce que se loger à Paris est beaucoup plus coûteux que dans les autres villes de France.
Si, comme nous, vous trouvez qu’il est inadmissible d’augmenter un impôt ou une taxe dans des proportions aussi déraisonnables, en particulier en période de crise, qu’il s’agit d’une question de respect du contribuable parisien qu’il soit propriétaire ou locataire,
Si vous souhaitez envoyer un message sans équivoque à la Mairie de Paris pour qu’elle corrige sa copie et évite à l’avenir de tels procédés désinvoltes, signez la pétition qui suit.
Je m’associe et signe la pétition adressée au Maire de Paris pour exiger une révision, dès 2013, du dispositif relatif à la taxe de balayage, de telle sorte que son produit global reste équivalent à celui de l’année 2011 seulement augmenté de l’inflation : cliquez LA.
Cette décision, applicable en 2012, conduit à une augmentation moyenne de la taxe de 270% par rapport à 2011. Pour certains immeubles, l’augmentation a dépassé 600%. Noyée dans les charges de copropriété, cette augmentation est rendue invisible. En effet, cette dernière est notifiée aux syndics qui la paient et la répartissent ensuite entre les copropriétaires en fonction des millièmes. Si vous êtes locataires, sachez que la taxe est répercutée dans vos charges locatives. Interrogez votre syndic ou votre propriétaire.
S’il est vrai qu’au cours de la dernière campagne électorale, le Maire de Paris avait prévenu qu’il relèverait le niveau des impôts payés par les parisiens, il s’était bien gardé de préciser qu’il procèderait à de telles augmentations. Aujourd’hui, la hausse brutale de la taxe de balayage, opérée en catimini, suit celle d’environ 20% de la taxe foncière et de la taxe d’habitation sur les exercices 2010 et 2011.
Si, jusqu’à présent, les parisiens payaient plutôt moins d’impôts locaux que la moyenne des contribuables des grandes villes françaises, c’est parce que se loger à Paris est beaucoup plus coûteux que dans les autres villes de France.
Si, comme nous, vous trouvez qu’il est inadmissible d’augmenter un impôt ou une taxe dans des proportions aussi déraisonnables, en particulier en période de crise, qu’il s’agit d’une question de respect du contribuable parisien qu’il soit propriétaire ou locataire,
Si vous souhaitez envoyer un message sans équivoque à la Mairie de Paris pour qu’elle corrige sa copie et évite à l’avenir de tels procédés désinvoltes, signez la pétition qui suit.
Je m’associe et signe la pétition adressée au Maire de Paris pour exiger une révision, dès 2013, du dispositif relatif à la taxe de balayage, de telle sorte que son produit global reste équivalent à celui de l’année 2011 seulement augmenté de l’inflation : cliquez LA.